De nombreux organismes, qu’il s’agisse d’universités, de centres de formation ou d’entreprises, se sont dotés d’une solution d’accréditation numérique ou envisagent de le faire à court terme. En France, des établissements de l’enseignement supérieur ont déjà pris une longueur d’avance sur ce domaine, comme l’IAE de Dijon ou l’Université de Lille, tandis que d’autres acteurs se demandent encore si une telle évolution est souhaitable, profitable ou même faisable. Bien des idées reçues viennent freiner la mise en place de nouvelles solutions d’accréditation numériques !

Les diplômes numériques dans le milieu de l’enseignement supérieur : “fausse bonne idée” ou concept révolutionnaire ? BCdiploma dissipe quelques malentendus sur l’usage et le fonctionnement des digital credentials !

1. “Ni les candidats ni les universités n’ont besoin des certifications numériques”

Bien des établissements n’ont pas pleinement conscience du caractère éminemment pratique que revêt un système d’accréditation numérique fondé sur la blockchain. L’adoption des badges et des certificats numériques implique certes un changement d’habitudes et un certain investissement des équipes, mais les avantages qui vont avec surpassent de beaucoup les efforts initiaux de mise en oeuvre, notamment :

  • la nette réduction du coût de l’émission des attestations de diplômes, dont la version physique engendre de nombreux coûts à court et moyen termes pour les les universités et les certificateurs ;
  • la révocabilité des diplômes numériques, qui rend plus facile le contrôle des entités sur les certificats qu’elles ont remis aux étudiants sur le long terme ;
  • la rapidité d’émission et de remise des diplômes : un net avantage pour les étudiants parfois pressés par le temps qui ont besoin immédiatement de leur certificat pour des démarches urgentes ;
  • l’image de modernité et d’adaptabilité qu’un établissement renvoie en se munissant d’une telle solution : une longueur d’avance prise sur les concurrents !

2. “Les diplômes numériques ne sont finalement que des certificats au format PDF”

les PDF restent à la merci des utilisations frauduleuses

Les diplômes et attestations délivrés au format PDF restent bien souvent la norme, ou la seule solution disponible en interne pour les institutions, mais ils sont bien moins sûrs qu’une certification numérique stockée sur une blockchain. En effet, les PDF, malgré les protections que l’on peut y ajouter, restent à la merci des utilisations frauduleuses. Copie, maquillage en faux diplôme, usurpation… les PDF peuvent être sujets à bien des modifications, ce qui n’est pas le cas des diplômes numériques.

3. “Les diplômes numériques ne sont pas fiables”

une alternative aux diplômes traditionnels plus sûre et plus fiable

La raison d’être des diplômes numériques est justement de proposer aux établissements et aux étudiants une alternative aux diplômes traditionnels qui soit plus sûre et plus fiable ! Les digital credentials, quand ils sont stockés sur une blockchain, offrent en effet :

  • une visibilité totale sur la moindre modification apportée au document ;
  • la parfaite maîtrise de la validité du diplôme numérique, en laissant à son émetteur le pouvoir de le révoquer en cas de besoin ;
  • l’assurance de la pérennité des certifications numériques : une fois stockées dans une blockchain, elles y seront toujours trouvables.

4. “Les badges numériques ne servent à rien”

Les badges numériques, un format spécifique de digital credentials, servent à attester de la réussite d’un travail, de l’obtention d’une compétence spécifique ou de la validation d’une étape dans un cursus universitaire. Utilisé à bon escient, un système de badges numériques permet à des étudiants ou des employés de justifier de leur progression ainsi que des compétences qu’ils ont obtenues. Les universités et les employeurs, quant à eux, s’assurent rapidement du niveau des candidats. 

De plus, les open-badges sont hautement compatibles avec les réseaux sociaux, sur lesquels ils peuvent être partagés pour augmenter la visibilité de leur détenteur, mais aussi de l’entité qui les a émis.

5. “Les étudiants préfèrent le format traditionnel”

Cela peut être effectivement le cas de certains étudiants : le diplôme physique est celui que nous connaissons tous et l’afficher quelque part dans sa maison ou sur son lieu de travail est une satisfaction dont on ne voudrait pas toujours se passer. Passer au format numérique n’empêche en aucun cas de continuer de distribuer des diplômes en version papier ni de profiter des avantages des deux versions ! Il est d’ailleurs intéressant de noter que plusieurs institutions impriment dorénavant les diplômes papier pour leurs cérémonies de diplomation directement à partir de leur solution de Digital Credentials BCdiploma.

6. “Hors de question de modifier nos systèmes internes !”

BCdiploma : une solution légère et adaptable

Ajouter une solution d’accréditation numérique aux processus d’un organisme ne revient pas à remplacer son système de fond en comble, mais à en automatiser certains mécanismes par l’ajout d’une solution légère et adaptable. Chez BCdiploma, nous ne faisons que dans le sur-mesure et proposons toujours une solution qui tient compte des systèmes déjà mis en place. 

BCdiploma, votre expert en certifications numériques et open-badges

Si vous êtes convaincus de l’utilité et des qualités intrinsèques des digital credentials, essayez notre solution d’accréditation numérique ! Rendez-vous sur notre site pour en apprendre plus sur les multiples fonctionnalités que cette technologie réserve à votre établissement.